La France a rejeté ma
demande d’asile le 16-VI-2021
https://refus-d-asile.blogspot.com/
Dossier N 455008 - https://www.m310014.uqam.ca/refusN4.pdf. Au Conseil d’Etat, Section Contentieux, 1 Place du Palais-Royal – 75100 PARIS PR du demandeur d’asile Alexander Kiriyatskiy habité par l’adresse suivante: Vladimir Altoukhov (Alexander Kiriyatskiy), résidence Saint-Georges, Bâtiment A: la Clarlite, app. 195, 1 rue de Glaieuls, 6600 Perpignan. France
Je m’appelle Alexander KIRIYATSKIY. Depuis le 22 juin 2021 au 14 juillet
2021, j’ai estimé devoir me pouvoir en cassation contre la décision de la Cour
Nationale du Droit d’Asile selon le numéro de mon recours 20039603. Je croyais
qu’au 6e jour après la réception du refus de la CNDA, j’avais mon
droit de m’adresser la deuxième fois à la CNDA à travers mon analyse précise de
sa décision non objective afin d’obtenir ma deuxième audience là, selon ce même
droit des autres demandeurs. Ainsi m’avait dit M. le président de ma première
audience qui a passé le 26 mai 2021. Son refus a été rendu chez moi le 16 juin
2021. Sur plusieurs pages suivantes le 22 juin 2021, ma réponse a essayé
d’expliquer à la CNDA qu’il avait fallu lire ma réponse daté le 22 juin 2021. Le
7 juillet 2021 par le téléphone N.01 48 18 40 00, la CNDA a annulé mon 2e
recours https://www.m310014.uqam.ca/4e-refus.pdf - https://refus-d-asile.blogspot.com/p/refus-de-democratie.html
, car Celle-ci avait fermé mon dossier le 16.06.2021. Plus-bas, je démontre par plusieurs arguments qu’il avait relire, plus
attentivement, mon recours contre le refus de l’OPFRA sur 126 pages. Je vous
envois la copie de mon message à la CNDA qui avait été daté le 22 juin 2021
après le remplacement de ma destination de ce même recours au Conseil d’Etat et
non à la CNDA. Là, je souligne le fait que si je n’avais aucune chance de
recevoir l’admission de mon analyse constructive avant le 14 juillet 2021. Par
ce même message, j’essaie de vous persuader que
1. La
CNDA avait toutes ses droits de présenter le statut de réfugier à ma personne
selon le terme des articles L. 512-1 du code de l’entré et du séjour des
étrangers et du droit d’asile: «Le bénéfice de la protection subsidiaire
est accrochée à toute personne qui ne remplit pas les conditions pour se
voir reconnaître la qualité de réfugié mais pour laquelle il existe des motifs
sérieux et avéré de croire qu’elle courrait de subir l’une des atteintes graves
suivantes: … conte sa personne d’une violence qui peut s’attendre à des
personnes sans considération personnelle et résultat d’une situation de
collectif. Je suppose que je n’ai pas pu vous expliquer mon premier recours
qui a été rejeté par la CNDA sans votre lecture attentive des pages 74-78. Ici,
je cite ces mêmes pages. Ici, celle-ci sont liés directement à une violence
qui peut s’attendre à des personnes sans considération personnelle et résultat
d’une situation de collectif», alors que les écoliers israéliens ont été
battus pour leur religion juive qui se pratiquait en russe. Les enfants
mentionnés ne critiquent personne. En outre, sans motivation, le même destin
les conduit aux violences de la police. Evaluez, s’il vous plaît, cette même
violence contre les enfants juifs d’origine russe. Ceux-ci n’ont aucune opinion
à leur âge de 12 à 16 ans. Comme sur les photos suivantes des israéliens
russes, se pratique cette même violence qui peut s’attendre à des personnes
sans considération personnelle et résultat d’une situation de collectif se
conduit vers la tragédie très souvent au Etats-Unis et en Israël. La violence
de cette manière est impossible en Iran, en Ouzbékistan, en Russie, en Mexique,
etc.
2. - 33a/ L’OFPRA
trompe que son service ne comprend pas pourquoi Israël ne veut pas délivrer
un nouveau passeport au citoyen d’Israël avec la nationalité russe!
Israël crache sur toutes les religions des ses citoyens. La croyance juive ne
pouvait jamais substituer la nationalité russe par celle hébraïque à travers
les traditions et par les vêtements juifs, car la religion n’était jamais
identifiée avec le concept de nos nationalités en Israël. Les russes juifs ont
téléchargé en vidéo de quelle façon par les bottes la police hébraïque bat les
jeunes russes juifs malgré leur religion évidente.
3) Mes craintes en cas de mon retour à ce pays sont directement liées avec 8 ans de ma détention dans la prison
israélienne: cinq ans de détention pour des propos «antisémites» qui m’ont
été imputés et trois ans de celle pour le doublon de mon diplôme italien
sans deux signature et sans seau. La mafia israélien
présentera le doublon de mon MA de Trente par la falsification de mon diplôme
pour laquelle en Israël l’on nous ferme dans la prison pendant trois ans de
détention. Cette dernière de ma personne sera accompagnée par la violence de la
police américaine et de celle israélienne. Ce conflit peut s’attendre
à des personnes sans considération personnelle et résultat d’une situation de
collectif par la botte du soldat israélien comme contre l’adolescent russe
juif qui ne critique personne et n’a aucun point de vue encore.
Les photos suivants
expliquent pour quelle motivation je me revendique russe. A
droite de photos, il est marqué le titre russe
НОВОСТИ (NOTICES).
33b/ Les adultes
ne savent pas aider à leurs enfants. Je prie la CNDA de confirmer de quelle
agression par la botte droite le soldat israélien bat les russes juifs qui sont
plus blancs et sans barbes parmi tous les autres jeunes garçons. Leurs sacrifices
ont l’âge entre 13 et 17 ans.
4. En Russie, l’on ne
persécute jamais les adolescents juifs de cette même manière. Seuls les pays
«démocratiques» permettent d’humilier leurs enfants et leurs adolescents de
cette même façon en Israël, au Canada et au Etats-Unis. Seules les vies des
noires comptent. Pour l’affirmation que les vies de tous comptent de cette même
façon, la police des puissances «démocrates» commence à battre tous comme sur
12 photos des notices russes. Celles-ci essayent de soutenir et de défendre nos
israéliens russophones. Le fascisme anti-blanc interdit de présenter l’asile
aux habitants de l’Amérique du Nord, d’Israël comme ces adolescents et comme
moi et de l’Europe comme Jacques Millet décédé. Il faut manifester ce même
fascisme par les notices russes qui dévoilent la vérité réelle à tout le monde
entier.
Plus bas, il est vu
que le soldat israélien terrorise l’enfant qui a 12 ans
Pour ces mêmes
soldats, SEULES LES VIES DES NOIRS COMPTENT.
Alexander Kiriyatskiy:
Strophes philosophiques du dissident en signe
Parmi ces hommes, qui bien domine?
Ne critiquez jamais Staline,
Ne critiquez jamais Staline,
La crainte pure sous chaque colline...
... En occident, l'idole de Chine
Fera trembler sous ses vitrines.
L'Europe imite l'enfant bientôt,
S'approche des cultes orientaux.
Comme à Byzance, son Bateau
Tire ses esclaves pour les manteaux,
Où l'âne heureux a tous ses droits
Pour son amour pratique au Roi,
Il ne demande pas: «Pourquoi
Ses gens se groupent ainsi?», et croit
Aux forces des doyens sérieux,
Il aime ses illusions des «preux».
Il n'y a aucun bonheur bien mieux
Que sa foi d'homme comme ce des dieux
Du monde... Chasse nos sacrifices,
Où leur Démocratie actrice
Affirme qu'en Asie vide, puissent
Crier, comme en Afrique, Ses fils.
Aux peuples qui se développent
L'on dit leurs mots..., non à l'Europe.
En Amérique, tu calmes, stop!
Dont l'on t'arrête, car tu galopes.
Nos dissidents bougeaient en russe
Il y a trente ans, ouvraient l'anus
Aux concurrents par leur virus.
Ceux-ci sont morts pour vos sinus.
Venez ici, aux temps stupides,
Leur vie illustre: Qui nous guide
L'idée? Qui est toujours l'hybride
Des Buts divers des Yeux humides?
Cristaux de la Noblesse, Écoles
Parfaites, vous êtes plus chères paroles
Comme nos consécrations très molles
Pour vos "génies" sur nos épaules.
Nouvelle chanson «Mur cas»
Il y a cinquante-un ans,
L’Europe était plus pauvre
Qu’à cet aveugle siècle maintenant.
Elle estimait ses ordres,
Car ne voulait pas mordre
Nos russes parmi vos autres immigrants.
Lors l’URSS pensait
Que cette «justice» énorme
Régnait sur vos pays pour nous laisser
Ici pour nos bonnes œuvres
Des soviétiques concombres
Qu'ils s’opposaient à nos régimes passés.
Vous invitez nos gens
Et vos acteurs rencontrent,
Par leurs triomphes, notre dissident,
Car celui-ci est contre
Ton expérience, montre
Comme mon état «décède», car tu descends,
Partout, au prix Nobel
Pour tes poèmes très tristes
Qu’à l’illusion stupide tu sois fidèle.
Tu bats tes communistes,
Tes spectateurs existent
Et tu vois que ta gloire est éternelle.
Tu chantes, Tokarev,
Et tu crois que tu portes
Tes belles chansons aux âmes par l’autre rêve,
Où l’URSS est morte.
L’on ferme toutes nos portes,
Dont cette consécration s’illustre brève.
L’on ouvre vos foyers
D’asile pour l’ignorance
De nos meilleurs diplômes. Vos ouvriers
Sont tous les russes en transe,
Nous sommes ta concurrence
Au monde qui nous fait ses mecs derniers..
Celle-ci pouvait me présenter l’asile selon le premier paragraphe sur la page 2 déclare: 1 Aux termes de l’article 1er , A, 2 de la convention de Genève du 28
juillet 1951 et du protocole signé à New-York le 31 janvier 1967., je dois être
considéré comme refugié. Mon recours au
Conseil d’Etat démontre cette évidence que votre CNDA avait toutes les
possibilités d’admettre mon asile depuis 2007 selon
les termes de l’article L. 512-1 du code de l’entré et du séjour des étrangers
du droit d’asile: 2 la torture ou des peines ou traitement inhumain et
dégradant. Aux termes de l’article L. 512-1 du code de l’entré et du séjour des
étrangers du droit d’asile: 2 la torture ou des peines ou traitement inhumain
et dégradant, la CNDA pouvait me
présenter l’asile en France, car à Amiens pour le fait que j’ai devenu le
premier traducteur poétique du troubadour Guillaume IX duc d’Aquitaine, votre CNDA avait toutes les possibilités d’admettre
mon asile depuis 2007 selon les termes de l’article L. 512-1 du code de l’entré
et du séjour des étrangers du droit d’asile: 2 la torture ou des peines ou
traitement inhumain et dégradant. Aux termes de l’article L. 512-1 du code de
l’entré et du séjour des étrangers du droit d’asile: 2 la torture ou des peines
ou traitement inhumain et dégradant. Le 22 janvier 2007 une
dame du service social de l'Université de Picardie a dit qu'on m'avait trouvé
une chambre vide dans la résidence et que l'Université payait mon logement.
Elle m'a fait prendre dans sa voiture, m'a conduit non à la résidence mais à
l'hôpital psychiatrique et là m'a laissé pour désinfecter mon corps. Je ne
devais pas contredire. Je devais être d'accord avec toutes les conditions et ne
pas montrer de l'inquiétude pour mon futur. L’on m'a fait mettre un pyjama. Je
suis resté dans les chaussettes spéciales de marle sans souliers. L’on m'avait
enfermé dans une chambre, où j'ai attendu sur une chaise pendant 5-6 heures la
commission médicale. Plus tard, l’on m'a amené sans souliers sur la neige du
même bâtiment à une voiture. Je savais parfaitement que je ne devais pas
montrer ma douleur dû au chemin couvert de neige, qui comme le feu, m'a brûlé
les pieds. La voiture m'a conduit au bâtiment avec l'isolateur dans lequel,
comme je l'ai pensé, j'aurai pu reposer et passer la stérilisation de mon
corps. L'acide "Ascarbiol" aidait à me
débarrasser de la Gale de chien. L’on a brûlé mon corps 5 fois et pendant les 4
premières séances, puis on a changé tout le linge, les draps et le pyjama. Mais
après chaque désinfection l’on a laissé une couverture infectée. L'on n'avait
pas provoqué de mon inquiétude et on ne m'a pas fait prendre les traitements
neuroleptiques. J'ai essayé de dire que je me suis servi de la même couverture
avant ma stérilisation et qu'elle m'aura réinfecté. Après la première séance,
je savais que l’on avait attendu la même réaction afin que je ne subisse pas de
nouveau ces mêmes souffrances. J'ai pris immédiatement conscience que ma
protestation de coucher sous la couverture infectée devait être considérée
comme ma "psychopathie" afin de me faire boire les drogues
neuroleptiques, pour motiver mon hospitalisation et pour arrêter mes études.
J'ai choisi la souffrance pour ne pas être drogué de leurs traitements, bien
que je sois tranquillement couvert de la couverture infectée. J'ai étonné les
femmes qui avaient brûlé mon corps. Chaque processus de la désinfection avait
deux étapes. L’on avait brûlé toute ma peau la première fois et dix minutes
après on a répété le tourment. Je n'ai pas senti la douleur de la première stérilisation.
Mais mes organes génitaux et ma peau sur le dos et sur la tête ont connu une
douleur horrible après ce même deuxième tourment. Je devais ne pas laver mon
corps couvert de l'"Ascarbiol" pendant 24
heures. L’on a répété quatre fois ces souffrances pendant toutes les 48 heures,
alors que l’on est arrivé chez moi afin d' "analyser": si je m’étais
débarrassé de la gale ou non? Mais après la quatrième violence sur mon corps,
le médecin a vu les traits brûlés sur ma peau de la tête entre les cheveux et
sur le dos.
Alors
tout de suite, l’on m'a conduit à l'Hôpital du Sud d'Amiens pour me manifester
au dermatologue. Il a changé officiellement le numéro de l'Ascarbiol.
6. Ainsi,
l’on a menti qu'on avait utilisé le numéro incorrect et on n'a pas pu
immédiatement me débarrasser de la Gale. Mais quatre tentations inutiles m'ont
laissé des traces sur ma peau. Si l’on le désirait, je pourrais dévoiler les
mêmes traits sur le dos et sur la tête sous les cheveux. J’ai démontré à la
CNDA que selon ces même violence de traitement contre moi, depuis le mois de
février 2007 en France, où j’habite de 2006 pendant 15 années irrégulièrement,
j’avais tout mon propre droit d’asile: 2 la
torture ou des peines ou traitement inhumain et dégradant.
Les
cicatrices de ce même traitement inhumain
et dégradant sont restées avec moi pour toujours
après les mêmes tourments à Amiens en 2007 mais n'avaient pas pu provoquer le
stress. Ou la CNDA affirme ce même droit
d’asile n’appartient qu’aux peuples qui coupent les têtes des
enseignants français pour leur soutenance des hommes, comme Piotr Pavlensky sans religion, qui doivent incendier les
monuments historique en France? Seulement pour les
bandits mentionnés, il existe le droit
d’asile: 2 la torture ou des peines ou traitement inhumain et dégradant? En 2007,
lorsque j'avais passé la cinquième désinfection, l’on m'a permis de substituer
la couverture infectée à la nouvelle et on a établi 48 heures après que je ne
suis pas malade de la gale. Le service social m'a apporté un document, où on
m'invitait le 17 février 2007 au tribunal qui devait déterminer la condamnation
de Michel Plûquet. J'ai demandé la permission de
quitter l'hôpital, dans lequel je me suis trouvé sans mon accord comme un
prisonnier, car je n'étais pas déjà infecté de la même gale. Mon premier
médecin, une jeune femme avec lunettes, âgée de 26 ans en hiver 2007, j'ai
oublié son nom, m'a dit qu'elle voulait observer, pendant une semaine, mes
relations dans la société avec les autres malades. La semaine passe pendant
notre rendez-vous, elle avait essayé de m'obliger à boire les traitements neuroleptiques.
Je lui ai répondu que je n'avais aucune dépression, je m'endormais
immédiatement, donc je n'avais aucun besoin de traitement. J'ai dit, que si
quelqu'un des infirmiers m'avait ouvert la bouche avec violence, serait venue
la date de ma déportation en Israël de son hôpital prison et j'aurais déposé
une plainte contre ce médecin. J'ai demandé la permission de téléphoner à
l'Université ou à l'Ambassade d'Israël, car je n'ai pas demandé l'asile
politique en France. Ce médecin m'a interdit de quitter l'hôpital prison, de
témoigner à la cour contre Michel Plûquet, de
téléphoner à l'Université, à l'Ambassade d'Israël à Paris ou à quelqu'un
d'autre et d'utiliser internet. Trois jours plus tard, elle m'a menacé de
brûler mon cerveau. Je n'ai eu aucune réaction. Je l'ai trompé que j'avais
éprouvé la morphine et qu'aucune drogue n'a jamais influencé sur ma conscience
claire. Je lui ai dit que quand j'aurai quitté l'hôpital prison ma plainte
l'obligera à me dédommager à hauteur de 30 000 euros pour violence. Je me
heurtais cependant à son indifférence à tous mes mots. Je me suis adressé à une
autre femme médecin Mademoiselle Corniers. Elle paraissait étrange. Sa mimique
se muait spontanément comme la mimique de mon camarade à Tachkent. Il était
psychiatre. Il ne prenait pas ses drogues neuroleptiques, alors qu’il étudiait
à l’université. Pendant ses études, son visage était tranquille. Lorsqu'il
avait débuté à expérimenter les traitements sur son corps, les mouvements de sa
mimique commencèrent à ressembler à la mimique de Me. Corniers. Trois années
plus tard, ce même camarade m'a dit qu'il était dépendant des traitements
neuroleptiques comme des drogues. J'ai compris que je risquais beaucoup dans
cet hôpital psychiatrique. J'ai dit à mon médecin que son amie médecin Me
Corniers prenait les traitements neuroleptiques et dépendait des mêmes drogues.
Si elle m'avait prolongé dans la dépendance comme Me Corniers, j'aurais demandé
dans ma plainte qu'on l'interne afin d'examiner combien de temps Me Corniers
pourrait supporter d’être privée de ses traitements neuroleptiques. Le même
jour, l’on m'a présenté au nouveau médecin, Mme Masai. Elle a indiqué que ma
santé psychique était stable. Je l'ai remercié. Elle m'a permis de quitter
l'hôpital.
7. Je
n'ai passé que des nuits sur son territoire avant la réception de la chambre
dans la résidence. Un de mes amis a envoyé mon message à l'Ambassade d'Israël,
dans lequel j'ai demandé que l’on m'envoie en Israël comme l’on me déportera de
Strasbourg le 8 mai 2008. La Croix Rouge m'a trouvé et m'a dis qu'on m'avait
acheté un billet d'avion de Paris à Tel-Aviv. J'étais fatigué à causes des
violences subies à Amiens. J'ai voulu revenir en Israël malgré le fait que je
n'ais pas mon droit de travailler et de poursuivre mes études là-bas. L’on m'a
expliqué que le même billet serait daté du dimanche 3 mars 2007, qu'une voiture
spéciale viendrait me prendre de l'hôpital et que je devrais apporter là toutes
mes valises de la Cathédrale. Vendredi soir, tous mes bagages se trouvaient
avec moi à l'hôpital d’Amiens. J'ai signé le document, dans lequel il
s'agissait que du dimanche matin le 3 mars 2007, donc j'aurais quitté l'hôpital
sans droit de revenir. Samedi soir, l’on m'a dit qu'il n'y avait pas billet ni
de voiture pour me conduire à l'aéroport comme l’on l'aura fait contre mon grès
le 8 mai 2008. Le 2 mars 2007, l’on m'avait expliqué que si j'étais parti de
l'hôpital afin de transporter de nouveau mes valises à la Cathédrale, l’on
m'aurait obligé à le quitter le même 2 mars et de dormir dans la rue pendant 2
nuits. Il s’agissait là d’une dernière tentation de provoquer mon stress. La
distance à parcourir à pied de mon bâtiment de l'hôpital à l'autobus était 800
mètres samedi, alors que l'autobus spécial arrivait là. Celle-ci était de 3 kilomètres
dimanche, car il n'y avait pas ce même autobus. Il était impossible de marcher
avec 80 kg de bagages. J'ai compris que je devais passer 2 nuits dans la rue.
M. le prêtre Du Prêt est arrivé immédiatement à l'hôpital dans sa voiture et,
de nouveau, il a repris toutes mes valises dans son bureau. J'ai rencontré en
même temps une femme russe. Son fils était l’un des patients de cet hôpital.
Elle m'a permis de dormir pendant deux nuits dans son appartement. Le 5 mars
2007 l'Université de Picardie m'a présenté un logement gratuit. Le vice
président de l'Université m'a laissé croire que l’on me permettrait d'habiter
là jusqu'au mois d'août 2007.
8. Le premier paragraphe sur la page 2 déclare: 1 Aux termes de
l’article 1er , A, 2 de la convention de
Genève du 28 juillet 1951 et du protocole signé à New-York le 31 janvier 1967.,
je dois être considéré comme refugié, car depuis le 20 mai 1999 jusqu’au 22
juin 2021 je suis craignant avec raison d’être persécuté du fait… … de
mon appartenance au certain groupe social
des hommes de la liste noire. Pour mon appartenance au groupe social des
hommes de la liste noire, malgré ma soutenance des gouvernements de tout
les pays et de ceux israélien aussi, depuis le 20 octobre 2004 jusqu’au 22 juin
2021, Israël, le Canada, la France, l’Espagne, l’Italie et la Suisse
m’interdisent de travailler par mon diplôme MA de l’une des meilleures
universités italiennes à Trente qui a été confirmé par moi au Québec en 2006 et
développé par mes études à l’Ecole Doctorale à Strasbourg de 2007 à 2010.
9. Pour mon appartenance au groupe social des hommes de la liste noire, les pays
«démocratiques» ne me permettent d’être intégré dans les sociétés israéliennes,
canadiennes, françaises, espagnoles, italiennes, suisses, etc.
Si je n’appartenais pas à ce groupe, la Suisse m’aurait présenté l’asile
selon l’ordre sur l’asile Suisse 142.
31 et
la loi 44. 3 du 26.06.1998, si
pendant 4 années depuis le 20 février 2015 jusqu’aux 21 février 2019 la
décision négative suivante n’avait pas été formulé et celle-ci avait été signé
par le TAF après le 22 février 2019, sa référence N de pers. 17324547.0 aurait
perdu toute sa validité de me renvoyer. Le Tribunal Administratif Fédéral
aurait eu tous ses propres droits d’annuler cette même décision suivante pour
son apparition bien plus tard que le 22 février 2019.
Le 18 mars 2019 est daté plus tard que le 20 février
2019 à travers 28 jours. Selon l’ordre mentionné, le deuxième refus, signé 28
jours plus tard que 4 ans ont passé après le 20 février 2015, perd sa validité
et n’a aucun droit de me renvoyer de la Suisse par l’ordre. La France légalise
tous qui ont vécu sur son territoire plus que pendant 10 années. J’habitais en
France et en Suisse francophone sans mon départ de l’Europe depuis le 5
septembre 2010. Je prie le de démonter que la France ignore le fait que
j’habite ici pendant 10 ans et 10 mois et celle-ci pouvait me présenter ma
légalisation sur son territoire francophone selon le fait que j’habitais en
France depuis le mois d’octobre 2006.
10. Seule mon appartenance au certain groupe social
des hommes de la liste noire interdit la France de me légaliser. Pour les
désirs de suivre ma thèse en philosophie, seule mon appartenance au certain
groupe social des hommes de la liste noire a obligé la France, l’Espagne et
la Suisse à envoyer aux vacances sabbatiques les professeurs Frédéric de Buzon, Dolménique Beyer, Pablo
Garcia Castillo, Cerilo Florez
Miguel, Angel Poncelo Gonzalz
et Christoph Erismann.
11. Si je ne m’étais pas trouvé dans la liste noire, 1) par correspondance à Salamanque j’aurais rédigé ma thèse sous la direction de M. Pablo García Castillo, le décan du département en philosophie. En 2011, M. Pablo García Castillo ne serait pas imprévisiblement envoyé aux vacances sabbatiques comme Frédérique de Buzon à Strasbourg en 2010, si le doyen de la meilleure Université espagnole avait rejeté ma thèse et il n’aurait jamais écrit son propre message chez moi. Ce document concret démontre son désir de suivre ma thèse
S. D. Alexander Kiriyazskiy
(M. Docteur Alexander Kiriyatskiy)
Estimado Señor
(Estimé Monsieur)
A la vista de su amplio currículo, en el que destacan sus estudios de Postgrado
(À la vue de votre large description de vie dans lequel se démarquent vos études de troisième cycle)
en diversas Universidades, me es grato comunicarle que acepto la dirección de su
(aux Universités différentes, je suis heureux de vous informer que j’accepte la direction de votre)
tesis doctoral, cuyo título provisional es “NICOLÁS DE CUSA EN EL LIBRO
(thèse doctorale, dont le titre provisoire est “NICOLAS DE CUES DANS LE LIVRE)
“INDIVIDUO Y COSMOS” de ERNST CASSIRER Y EL ORIGEN DE SUS
(“INDIVIDUS ET COSMOS d’ERNST CASSIRER ET L’ORIGINE DE SES)
CUATRO CATEGORÍAS FOLOSÓFICAS (mito, lengua, lógica y realidad
(QUATRE CATHÉGORIES PHILOSOPHIQUES (mythe, langue, logique et réalité)
creativa).(créative)).Quedo a su entera disposición para realizar los trámites administrativos
(Je reste à votre disposition éternelle afin de réaliser les paperasseries administratives)
necesarios para su inscripción como doctorando en la Universidad de Salamanca
(nécessaires pour votre inscription comme doctorant à l’Université de Salamanque)
y para que pueda utilizar todos los medios necesarios para llevar a cabo su
(et que vous pouviez utiliser tous les médias pour effectuer votre)
trabajo de investigación en nuestra Facultad de Filosofía.
(travail de recherche dans notre Département/Faculté en Philosophie.)
Una vez matriculado en el Programa de Doctorado, podrá hacer uso de la
(Une fois inscrit en Programme de Doctorat, vous pourrez faire usage de la)
Biblioteca General y de las Bibliotecas especializadas de los recursos
(Bibliothèque Générale et des Bibliothèques spécialisées des ressources)
teológicos de investigación de los que dispone nuestra Universidad, con el fin
(théologiques de recherche disponible à notre Université, à la fin)
de que pueda realizar satisfactoriamente su tesis doctoral.
(que vous pouviez réaliser satisfaisant votre thèse doctorale.)
Finalmente, quiero expresarle también mi disposición favorable para que la tesis
(En fin, je veux vous exprimer ma disposition favorable que votre thèse)
pueda llevarse a cabo en colaboración con la Universidad francesa o italiana que
(puisse à être effectuée en collaboration avec l’Université française ou italienne que)
Usted prefiera, siendo para ello conveniente la elección de su tutor de tesis.
(vous préfériez, en étant adapté pour le choix de votre directeur de thèse convenant)
Ello permitirá que Usted obtenga, además del título de Doctor por nuestra
(Celui-ci permettra que vous obteniez complètement le titre de Docteur par notre)
Universidad, la acreditación del doctorado europeo.
(Université, l’accréditation du doctorat européen.)
Lo que firmo y sello en Salamanca, a veinte de julio de 2011
(Ce que je signe et scelle à Salamanque, le vingt juillet 2011)
El director de tesis
(Le directeur de thèse)
Profesor Doctor Pablo García Castillo
(Professeur Docteur Pablo García Castillo)
Decano de la Facultad de Filosofía. Universidad de Salamanca.
(Décant/Doyen de la Faculté en Philosophie. Université de Salamanque.)
12. Je m’étais trouvé dans la liste noire et, par la
coïncidence accidentelle, selon laquelle Frédéric de Buzon
et Pablo García Castillo ont imprévisiblement été envoyé aux vacances sabbatiques
pour leur soutenance de ma thèse. La mafia leur a interdit de suivre ma thèse
par correspondance. Sans tous deux, je pouvais rédiger ma thèse sous la
direction de M. Ángel Poncelo
González. Il était le plus jeune professeur de la Faculté en Philosophie à
l’Université de Salamanque. Pendant 20 ans sans motivation, la persécution de
ma personne a été démontrée à travers le message officiel de M. Ángel Poncelo González vers
l’École Doctorale à l’Université de Trente. M. Ángel Poncelo González avait souhaité que j’aie rédigé ma
cotutelle en espagnol et en italien. De cette même façon, M. Ángel Poncelo González a soutenu
la disposition favorable de M. le Décan Pablo García Castillo.
Mi
chiamo il Professore Dottore Don Ángel Poncelo González.
(Je m’appelle le
Professeur Docteur M. Ángel Poncelo González.)
Appartengo al
dipartamento di Filosofia, Logica e Estetica
(J’appartiens au département de Philosophie, Logique et Esthétique)
dell’Università di Salamanca. Sono direttore di tesi di Alexander
(de l’Université de Salamanque. Je suis directeur de thèse d’Alexander)
Kiriyatskiy sotto il titolo “Nicolò Cusano nel lavoro “Individuo e
(Kiriyatskiy sous le titre “Nicola de Cues dans le travail “Individu et)
cosmo” di Ernst Cassirer e l’origine di quattro carregorie
(cosmos” d’Ernst Cassirer et l’origine de quatre catégories)
filosofiche (mito, logica, lingua e reltà creativa). Ho accetato
(philosophie (mythe, logique, langue et réalité créative). J’ai accepté
per Don Alexander Kiriyatskiy, la memoria del suo progetto di
(pour M. Alexander Kiriyatskiy, le mémoire de son projet de)
tesi dottorale. La(thèse
doctorale. Sa)
sua matricola dimostra che i suoi diplomi corrispondono
(matriculé démontre que ses diplômes correspondent)
all’esigenza della nostra Università affinché il nostro dottorando
(à l’exigence de notre Université que notre doctorant)
Don Alexander Kiriyatskiy scriva la sua cotutela fra la nostra
(M. Alexander Kiriyatskiy rédige sa cotutelle entre notre)
Università e quella degli studi di Trento. Sulla base della
(Université et celle des études de Trente. Sur la base de)
petizione dell’interessato, chiedo affinché il S. Professore
(la pétition de l’intéressé, je prie que M. le Professeur)
Dottore Don Giuseppe Beschìn dell’Università degli Studi di
(Docteur M. Giuseppe Beschìn de l’Université des Études de)
Trento accetti il compromisso della nostra cotutela e le
(Trente accepte le compromis de notre cotutelle et les)
obbligationi che si derrivano per la tesi del Don Alexander
(obligations que celles-ci se dérivaient pour la thèse de M. Alexander)
Kiriyatskiy in spagnolo e in italiano. Ugualmente chiedo la Sua
(Kiriyatskiy en espagnol et en italien. Également, je demande votre)
accetazione del progetto di questa tesi in italiano affinché la
(acceptation du projet de cette thèse en italien que la)
cotutela del Don Alexander Kiriyatskiy possa essere accetata
(cotutelle de M. Alevander Kiriyatskiy pouvait être acceptée)
amministrativamente nell’Università di Salamanca.
(administrativement à l’Université de Salamanque.)
Aspettando affinché questa mia domanda ottenga l’effetto per il
(En attendant que cette ma demande obtienne l’effet pour)
nostro dottorando Alexander Kiriyatskiy dedicato la sua tesi
(notre doctorant Alexander Kiriyatskiy consacré sa thèse)
alla filosofia italiana.
(à la philosophie italienne.)
Cordialmente, Don Ángel Poncelo González Professore della
(Cordialement, M. Ángel Poncelo González Professeur de la)
Filosofia teoretica e della sua storia.
(Philosophie théorique de
son histoire.)
Aspettiamo l’approvazione della sua tesi per il nostro dipartamento.
(Nous attendons l’approbation
de sa thèse par notre département).
13. Pour leur désir de suivre ma thèse, Frédéric de Buzon, Dolménique Beyer et Pablo
Garcia Castillo n’occupent plus leur place des directeurs d’équipe, car ces
mêmes trois professeurs ont fait beaucoup pour la soutenance de ma thèse à
Strasbourg et à Salamanque. Pour seule mon opinion politique, la mafia
suisse a remplacé M. le Professeur Christoph Erismann
par Gian Franco Soldati pendant l’année académique
2015-2016 à l’Université de Lausanne que je ne puisse pas soutenir ma thèse
sous sa direction afin de quitter la Suisse en 2016, car mon diplôme de docteur
suisse pouvait me présenter mon travail stable en Argentine et en Russie sans
mon passeport israélien en 2016. Seule mon appartenance au certain groupe
social des hommes de la liste noire interdit les ambassades d’Israël en
France et en Suisse de me présenter mon passeport depuis 2011 jusqu’ 2021 que
je ne demandais pas mon asile en Suisse et en France comme je ne le demandais
pas en France de 2006 à 2012 malgré le fait que pendant ces mêmes cinq ans et
demi je n’avais que un peu d’argent gagné par moi pendant mes vacances en 2008
et en 2009, car seulement alors en 2008 et en 2009 mais non plus tôt et non
plus tard Israël m’a permis de gagner un peu d’argent par seul le travail sans
qualification pendant ces mêmes deux année et jamais plus.
14. Pour mon
appartenance au certain groupe
social des hommes de la liste noire sur la
page 2, le paragraphe 4 écrit qu’en 2002 je suis parti vivre en
Italie, puis au Canada, où j’ai étudié. Comme le TAF suisse, la CNDA
ne pouvait pas dissimuler (???) qu’en Italie j’avais passé le concours que
j’étudiais gratuitement et avec ma bourse en volume de 607 euros pendant chaque
mois du 20 octobre 2002 au 20 octobre 2004 afin de soutenir mon mémoire du
Master DEUX à l’Université Italienne des étude de Trente. Celle-ci occupe la
deuxième place par sa rating parmi toutes les
universités italiennes
15. Par
la calque du TAF suisse, La CNDA n’a pas attiré son attention sur fait que je
n’étudiais pas seulement sans aucune soutenance de Master comme le pratique la
plupart des étudiant étrangers de protection. Mais le 20 octobre 2004,
j’ai gratuitement soutenu mon diplôme du MASTER DEUX à cette même meilleure
université italienne.
16. Peut
être l’absence de 60 pour cent de on cerveau et ma maladie sclérotique, reçu à
Perpignan en 2011, ne m’ont pas permis d’expliquer précisément à la CNDA que
j’ai confirmé mon MA italien par l’équivalence du diplôme québécois des Etudes
universitaire du deuxième cycle complété.
17. La CNDA
n’a pas compris la réalité objective que si je n’appartenais pas au certain groupe social des hommes de la liste noire et à la race inferieure
des russes, j’aurais trouvé mon travail stable par ces mêmes deux diplômes au
Canada, en France, en Israël et en Suisse. Par la calque suisse, la CNDA a fermé ses yeux sur
la vérité que j’ai soutenu ces mêmes deux diplômes, alors que votre CNDA a
déclare qu’en 2002 je suis parti vivre en Italie, puis au Canada,
où j’ai étudié, car j’ai étudié sans soutenance
seulement à l’Ecole Doctorale à Strasbourg et non en Italie et non au Canada,
18. La CNDA a entendu ma réponse précise que je
n’avais jamais été détenu en Allemagne en 2009, car pendant les dates des
détentions imputées à ma personne le 5 janvier 2009 et le 21 juin 2009 je me
trouvais en Israël. Pour quelle motivation la CNDA a trompé comme l’enfant à
l’âge de 12 ans, alors qu’elle avait affirmé qu’en 2009 j’ai été arrêté et
placé en détention provisoire et renvoyé en Israël, avant de revenir en France.
Ce mensonge ouvert est vue à tout le monde entier. J’ai envoyé ce même
mensonge à l’administrateur du canton Valais afin de démonter qu’en France il
bien plus difficile d’obtenir l’asile politique qu’en Suisse, car la
première réponse du Tribunal Administratif a admis mon premier recours le 9 mai
2018.
20. Avant
le 15 février 2010 et pendant toute l’année 2009, ma détention faute n’existait
pas dans les ordinateurs de la police allemande. Particulièrement en 2015
et en 2019, ces mêmes deux décisions du SEM dissimulent trois seaux de la
douane d’Allemagne dans mon passeport. Ceux-ci ont été datés le 2 février
2009, le 30 avril 2009 et le 5 septembre 2009.
Je
n’avais pas scanné ces mêmes seaux qui étaient datés le 2 février 2009 et le 30
avril 2009, car avant 2015 ma détention falsifiée actuelle, daté le 5
janvier 2009, n’existait pas dans les ordinateurs de la police allemande.
En outre en 2012, je n’ai pas pu prévoir le remplacement de la date de ma
détention allemande. Je devais scanner toutes les pages de mon passeport, car
depuis 2015 ma détention au mois juin 2009 aurait été datée le 5 janvier 2009.
Le SEM ferme les yeux sur le fait que si en 2009, ma détention faute existait
dans les ordinateurs de la police allemande, je n’aurait jamais eu les seaux de
sa douane allemande à Frankfort et sans ces mêmes trois seaux, en 2009, cette
année-là, je me serais rendu non une fois en Allemagne, mais pendant
trois fois le 2.02.2009, le 30.04.2009 et le 5.09.2009 j’aurais dû être le
sacrifice de ces mêmes trois «fautes» de titre de séjour légal.
Comme l’enfant à son âge de 13 ans, le SEM ignore mon analyse de sa propre
décision du 2015, où j’ai souligné ce même mensonge. Ce dernier se répète dans
son «examen» ici qui se date le 18.03.2018.
21. Si
contre moi le 5 septembre 2009 ces mêmes deux falsifications de mon action
«criminelle» avaient existé dans les ordinateurs de la police allemande, sur
mon passeport je n’aurais jamais eu deux seaux de l’aéroport allemand
datés le 5. 09. 2009 et le 1 février 2009.
22. Ce
même passeport se trouve dans le bâtiment de la police de Suisse. Mon passeport
a deux autres seaux de l’aéroport allemand. Le premier seau a été daté le 1
février 2009. Celui-ci confirme le mensonge qui a été lié à mon « arrêt »
le 5 janvier 2009 selon la notice du Tribunal administratif fédéral TAF,
E-3767/2006, 4. 1 falsifié. En 2012, je n’avais aucune
information liée avec la 2e falsification datée le 5 janvier 2009, c’est
pourquoi je n’ai pas copié ce même seau. Ce dernier était mis sur mon passeport
le 1.02.2009. Je prie le Tribunal administratif fédéral TAF de
témoigner ce même seau daté le 1.02.2009 sur mon passeport. Ce dernier se
trouve dans la police de Suisse depuis le 4.01.2012. Mon document sous le titre
l’Absence
du droit sur l’alibi en Europe ou Silence obligatoire de la masse des moutons
européens sans voix: (page 13) n’était pas examiné par le
mensonge lié à ma détention falsifiée le 5.01.2009 selon l’« arrêt » du 5
janvier 2009 du Tribunal administratif fédéral TAF, E-3767/2006, 4. 1, car
cette dernière falsification n’existaient pas de 2009 à 2012.
23. Dans mon recours en 2015 j’affirme que
j’attire l’attention de votre tribunal de recours sur le fait que depuis le 8
mai 2008 jusqu’au 31 janvier 2009 je me trouvé en Israël. Mon document bleu
d’Israël démontre que je suis revenu en France à travers l’Allemagne le 31
janviers 2009 et, physiquement, je ne pouvais pas être arrêté et détenu en
Allemagne par mon arrêt du 5 janvier
2009, car le 5 janvier 2009 je me trouvais en Israël, alors que
j’avais obtenu le droit officiel sur mon travail sans qualification en Israël
pendant toute l’année 2009.
24. L’Allemagne
n’est que l’esclave sans voix dans les mains américaines et israéliennes. Le
gouvernement allemand ne peut pas être responsable pour ces deux
falsifications. Selon ce dernier document, falsifié en 2015, j n’ai pas été
détenu en Allemagne le 5.01.2009.
25.
Pendant long temps, l’Europe souhait tuer tous les hommes russes selon
l’opinion de M. Bob Scales (Robert Skeels). Si je m’étais trouvé en Europe au mois juin 2009,
je serais condamné pour quelque action criminelle en Allemagne. En Europe totalitaire,
les hommes comme moi n’ont aucun droit sur leur vie sans persécution, car seuls
les peuples, qui décapitent vos enseignants français, ne doivent pas être
discriminés. Ce fait est confirmé par l’absence de cette même information
concrète dans cette Décision du SEM selon mon asile en Suisse. Israël ne m’a
présenté aucun avocat pour régler mes problèmes en Allemagne. La lettre de
l’avocat français Mme Séverine ROUDLOFF était rejetée.
26. En France sans motivation, j’ai été détenu en 2008
sans motivation. De la France, j’ai été renvoyé en Israël en 2008 malgré la
décision de M. le juge Pierre Wagner que je devais être mis en liberté:
27. Pendant notre audience, j’ai dit qu’en 2009 je n’ai pas été détenu par
personne. La CDNA a bien lu les pages 11, 12 et 13, 19 et 20 de mon deuxième
recours en Suisse. Le 30 avril 2009, moi-même j’ai acheté le billet en avion
pour revenir en Israël, car en 2008 et en 2009 j’avais mon droit sur mon
travail officiel sans qualification sur le territoire israélien. De 1999 à 2008
et de 2010 pour toujours, je n’avais aucun droit sur le nettoyage des planchers
et sur les autres types des travaux sans qualification en Israël. Au contraire,
en 2008 et en 2009 j’avais ce même droit. Si en 2009 la police allemande
m’avait arrêté et placé en détention provisoire
et renvoyé en Israël, avant de revenir en France, l’Allemagne n’aurait pas dû me payer son amende en
volume de 730 000 euros du 21 juin 2009 au 21 juin 2019 et je n’aurais pas
pu rester en Suisse depuis le 4 janvier 2012 jusqu’au 21 décembre 2019 avec ma
possibilité de recevoir mon assistance sociale en volume de 480 francs pendant
huit années sans deux semaines.
28. La SNDA ment qu’en 2009 la police allemande m’avait arrêté et placé en détention provisoire et renvoyé en
Israël, avant de revenir en France. Ce
même mensonge m’oblige à renvoyer ce même recours non seulement au
Conseil d’Etat, Section Contentieux, à l’Ambassade de la Russie et à la Cour du
Droit de l’Homme afin de renouveler là ma Requête perdue en 2010 qui avait le
Numéro 7170/10
29. Sur les pages
antérieures, j’ai démontré le mensonge absolu qu’en 2009 la police allemande m’avait arrêté et placé en détention provisoire et renvoyé en
Israël, avant de revenir en France, en
fin de la page 2 la CNDA. Ce paragraphe déclare que la détention américaine de
Maria Bourina et ses tourmentes ne présentent aucune
motivation pour l’asile.
Ce
même texte oblige son lecteur à fermer les yeux sur les persécutions de
Mademoiselle Maria Boutina sans motivation. Le 7 août
2018 et selon mes messages suivants en 2018, la CNDA n’a pas accepté mes
démonstrations que Marie Boutina était l’étudiante
russe au États-Unis. Son niveau académique était bien plus bas que le mien que
je l’avais à l’École Doctorale de Strasbourg. Sans motivation, Marie Boutina a été fermée dans la prison américaine comme moi à
Strasbourg en 2008. Je me trouve dans la liste noire à travers ma détention
falsifiée en Allemagne sans droit sur la reconnaissance de mon alibi en
France. Maria Boutina n’a pas pu démontrer
l’absurdité de sa détention aux États-Unis. De cette même façon en France, la
CNDA ferme ses yeux sur les seaux allemands dans mon passeport et sur mon
certificat de la police israélienne qui démontrent que
Depuis le 08.05.2008 jusqu’au 31.01.2009 et du 30.04.2009 au 05.09.2009, je me trouvais en Israël et physiquement je ne pouvais pas être détenu en Allemagne ni le 5 janvier 2009, ni le 21 juin 2009, car l’un seul corps physique ne peut pas exister sur deux places en Israël et en Allemagne en même temps. Encore une fois, je vous prie de confirmer le fait que si depuis le 21 juin 2009 jusqu’au 21 juin 2019 l’Allemagne avait interdit M. Alexander Kiriyatskiy de traverser son territoire, il n’aurait jamais pu obtenir le seau de la douane allemande dans le bâtiment de l’aéroport de Frankfurt qui a été daté le 05.09.09.
Je n’ai aucun désir de revenir au pays, dans le quel me menacent la mort
lente et nombreuses persécutions sans motivation qui sont soutenues par la
CNDA. Celle-ci croit que, par toutes les règles des «droit» de l’homme pendant
nombreuses nuits, les soldats américains ne permettaient pas Maria Boutina d’endormir sous les murs de leur prison américaine.
Maria Boutina n’avait aucun droit sur ses plusieurs
alibis aux Etats-Unis comme moi je ne les avais pas en 2010, en 2011 et
en 2021 en France. La CNDA a dissimulé l’évidence que cette même détention de
ma personne en Allemagne le 5 janvier 2009, ni le 21 juin 2009 a
apparu non plus tôt qu’au mois de mars 2010 et non en 2009. Car cette même
peine pécuniaire avait imputée à moi en 2010 et non en 2009, depuis 2010 et non
depuis 2009 toutes les universités européenne m’ont interdit d’étudier à leurs
cours pédagogiques de deuxième niveau et à ceux doctoraux de troisième niveau
académique aux Université de Strasbourg, de Salamanque, de Lausanne, de
Trente, etc., sans mon permis de soutenir ma thèse là par l’ignorance de mon MA
italien qui a été confirmé au Canada en 2006. Depuis le 30 avril 2010 malgré
mes plusieurs alibis, le néo-stalinisme européen oblige l’Europe à remplacer ma
soutenance de la meilleure MA italien à Trente par seuls mes études de stage,
où je n’avais passé «aucun» examen et «aucune» soutenance de mémoire. Mes
études régulières pendant trois années à l’Ecole Doctorale à l’Université de
Strasbourg de 2007 à 2010 ont été remplacées par l’affirmation du TAF et de la
CNDA que j’ai été ensuite souhaité poursuivre en France sans mes études
en France.
Comme
Michel Venne à Montréal en 2005 et comme le TAF en
2015 et en 2018, en 2021 la CNDA s’oppose à la vérité par son affirmation que
j’avais quelques difficultés d’accès à l’emploi rencontré. La CNDA
dissimule la réalité qu’en 2008 et en 2009 en Israël j’ai obtenu le permis sur
mon travail sans qualification. Pourquoi les juges canadiens, suisses et
français la vérité réelle et objective que si j’avais eu quelques
difficultés d’accès à l’emploi rencontré de 1999 à 2008 et depuis 2009
jusqu’à nos jours, j’aurais eu ces mêmes quelques difficultés d’accès à
l’emploi rencontré en 2008 et en 2009, alors que l’Israël m’avait permis de
gagner mon salaire minimal. En 2008 et en 2009, je n’avais rien de ces mêmes quelques
difficultés d’accès à l’emploi rencontré, alors que je travaillais pendant
13 heures chaque jour en 2008 et en 2009 et j’ai pu gagner plusieurs argents
pour avoir mon désir de revenir en Israël en 2009 moi-même pour travailler là
et gagner, en Israël en 2009, l’argent afin d’étudier pendant ma troisième
année à l’Ecole Doctorale de Strasbourg. Pour quelle motivation, vos juges très
âgés n’ont pas peur de Dieu, alors qu’ils répètent le mensonge canadien et
suisse qui affirme que j’avais ces mêmes quelques difficultés d’accès à
l’emploi rencontré. Ces mêmes hommes âgés savaient parfaitement que depuis
1999 jusqu’à 2008 et depuis 2010 jusqu’à nos jours moi, Alexander Kiriyatskiy, je ne pouvais que travailler illégalement sous
les noms des autres personnes inconnues sans mon permis de payer mon assurance
médicale, car de 1999 à 2008 et en 2010 le service secret persécutaient tous
mes amis qui me présentaient mon travail légal. Alors, je pouvais gagner
illégalement seul 50 pour cent du salaire minimal. De 1999 à 2010 ne me
menaçaient pas 5 ans de la prison pour mes «propos antisémitiques» et 3 ans de
la détention pour ma falsification des documents. Afin de me fermer dans la
prison israélienne-américaine pendant 3 ans pour la falsification de mon MA
italien et afin de dissimuler le fait et que j’ai soutenu mon mémoire de
MASTER deux, en 2017 j’ai reçu le doublon de mon MA de Trente sans deux
signatures et sans seaux. Le doublon de mes examens a cessé de manifester les
codes de mes examens afin de confirmer la dissimilation de mes études à
l’Université de Trente et pour les remplacer par la falsification de mon MA italien
que, pour cette même action criminelle, je sois détenu dans les prisons
israéliennes pendant 3 ans. S’il vous plaît, regardez les pages 32-40.
Sur ses pages 46-51, mon premier recours à la CNDA présente quatre photos et
l’adresse de l’appartement radioactif et 3 certificats de mes trois kystes qui
ont apparu après mon logement là à Perpignan en 2011. Le 22 juin 2021 et
non plus tard, je devais envoyer cette même analyse de la réponse de la CNDA
afin de persuader celle que, pouvait-être, la Cours Nationale n’a pas lu mes
dossiers attentivement et j’aurai ma chance d’obtenir l’admission de mon asile
par votre SNDA depuis le 22 juin jusqu’au 14 juillet 2021 par ma possibilité de
passer ma deuxième audience. Au début de mon rendez-vous, votre M. le président
m’a dit que les requérants comme moi ont leur chance de passer notre deuxième
audience encore. Son résultat se détermine par son concours comme à
l’Université théâtrale. Ma maladie sclérotique ne m’a pas permis de me préparer
parfaitement à mon concours le 25 mai 2021. En outre, l’absence de soixante
pour cent des cellules de mon cerveau ne pouvait pas être évaluée par vos juges
comme ma peine pécuniaire afin de m’obliger à décéder lentement dans la rue,
car je n’ai pas passé votre concours et je n’ai pas gagné la quantité minimale
des bénéfices de la protection subsidiaire?
30. Je pourrai
recevoir le refus du Conseil d’Etat et ne jamais obtenir l’asile en France mais
le Conseil d’Etat et la Cour du Droit de l’Homme doivent confirmer le fait que
la CNDA n’écrit pas la vérité, alors que celle-ci affirme que la police allemande m’avait arrêté et
placé en détention provisoire et renvoyé en Israël, avant de revenir en France.
31. La CNDA continue à dissimuler la vérité, alors que
celle-ci déclare que j’ai d’ailleurs rencontré des difficultés, lors de mes
études à l’université, du fait de mon placement sur la liste noire.
La Cour Nationale dissimule que les mensonges allemands qui avaient été liés
avec mes détentions falsifiées qui m’ont interdit d’étudier partout en Europe
en France, en Espagne et en Suisse.
32. Je déclare à tout le monde entier que le pays
d’Israël n’est pas quelque propriétaire antique qui m’avait acheté par son
esclave sans voix. Je ne suis ni son esclave, ni son paysan médiéval attaché à
sa terre. En 2010, j’ai quitté ce même pays pour toujours. Israël n’était
jamais le pays de mon origine. Ni Israël, ni Ukraine, ni Pologne n’ont
aucun rapport avec mon origine. Pour moi entre ces mêmes trois pays il n’y a
aucune différence.
33. L’ex-président de la France M. Sarkozi a la nationalité hébraïque et c’est la raison pour
laquelle celle-ci est israélienne comme la nationalité de mon grand-père, du
compositeur Benjamin Khaèt. Pourquoi la France
n’oblige pas M. Sarkozi à revenir en Israël???
L’Europe n’a aucun droit de m’obliger à habiter ni en Ukraine, ni en Israël, ni
en Pologne. Si je ne pouvais pas me légaliser en France avec ma citoyenneté
d’Israël pendant l’onzième année de mon logement en France, j’aurais demandé
son apatride avec mon risque de décéder dans la rue sans argent, car je n’avais
pas passé mon concours théâtral et c’est la raison pour laquelle je n’ai pas
confirmé mon asile politique.
34. Si je n’avais pas gagné la quantité obligatoire de
mes primes pour votre bénéfice minimale, je n’aurais pas pu obtenir ma deuxième
audience à votre Cours Nationale du Droit d’Asile? Alors à mes regrets comme en
2010 par la présentation de ma requête perdue en 2010, seule la Cour du Droit
de l’Homme devra déterminer en 2021 ma possibilité de devenir le réfugié en
France que j’évite mon décès lent dans la rue. J’ai mon droit sur ma
légalisation en France ou non ? En outre, j’appartiens au certain
groupe social des hommes de la liste noire et à la race inferieure des
russes.
35. En Israël, j n’ai vécu que
pendant 4 ans 8 mois et 4 jours: 1) de puis le 20 mais
1999 jusqu’au 18 octobre 2002 – 3 ans et 5 mois, 2) depuis le 23 décembre 2002
jusqu’au 7 janvier 2003 – 14 jours, 3) depuis le 13 juillet 2004 jusqu’à 24
septembre 2004 – 1 mois et 12 jours, 4) depuis le 18 octobre 2007 jusqu’au 10
novembre 2007 – 22 jours, 5) depuis le 8 mai 2008 jusqu’au 31 janvier 2008 – 8
mois et 23 jours, 6) depuis le 30 avril 2009 jusqu’au 5 septembre 2009 – 4 mois
et 6 jours, 7) depuis le 1 mai 2010 jusqu’au 5 septembre 2010 – 4 mois et 4
jours.
3 ans 5
mois + 14 jours + 1 mois et 12 jours + 22 jours + 8 mois et 23 jours + 4 mois
et 6 jours + 4 mois et 4 jours = 4 ans 8 mois et 4 jours.
36. La période de mon logement en Israël est bien plus petit que celle
de ma vie en France et en Suisse depuis 2006 jusqu’à 2021. La France n’a aucun
droit de m’obliger à habiter en Israël avec lequel je n’ai aucun rapport sauf
que par mon esclavage humilié et à travers mes persécutions.
37. Selon le quatrième paragraphe sur la page 4, j’ai dit pendant
nombreuses fois pendant mon audience que mes craintes en cas de mon
retour à ce pays sont directement liées avec 8 ans de ma détention
dans la prison israélienne: cinq ans de détention pour des propos
«antisémites» qui m’ont été imputés et trois ans de celle pour le doublon
de mon diplôme italien sans deux signatures et sans seau. La mafia
israélienne présentera le doublon de mon MA de Trente par la falsification de
mon diplôme pour laquelle en Israël l’on nous ferme dans la prison pendant
trois ans de détention.
38 La CNDA ne voit pas cette même information et ne me comprend pas, alors que celle-ci déclare que l’ensemble de mes allégations a fait l’objet de déclarations imprécises et confuses afin de ne pas attirer son attention sur plusieurs faits de mon recours à la CNDA qui sont présentés sur les pages 98-107 de mon premier recours rejeté. Je vous cite ces mêmes pages mentionnées:
39. - 40a/ En 2017, l’Ecole Pédagogique du Valais a pris
l’original de mon MASTER italien et de son supplément afin de confirmer sa validité
qui ne correspond pas aux niveaux des diplômes valables pour l’admission en
cours pédagogiques de la Suisse. Pendant l’analyse de mon diplôme de
Trente, l’on a perdu celui et son supplément. En Italie, j’ai commandé les
copies de tous deux. En 2019, j’ai reçu la nouvelle variante de ce même master
sans seau UNIVERSITAS ATE(NEO) à droite. Son Doublon n’a pas la signature du
Recteur et n’a pas celle du Président de la faculté, à gauche et au centre de
mon diplôme renouvelé. J’ai laissé les copies de mon master qui avait été
confirmé par le notaire en 2004.
40. Je prie de comparer l’original avec le seau rond UNIVERSITAS ATE et leur absence sur son doublon. Je prie de constater l’absence des deux signatures mentionnées.
41. 40b/ Je prie de confronter la liste de mes examens du supplément original, qui a tous les crédits des exigences européennes, et les examens du doublon du nouveau supplément qui n’ont pas les numéros et chiffres de l’original particulièrement. Je vous présente 5 pages plus importantes de l’original
42. 40c/ Je prie de
confirmer que seules 3 pages du doublon sans information obligatoire ont
remplacé 5 pages du supplément original avec l’information nécessaire qui
manque sur 3 pages du doublon sans seaux ronds et sans signatures de cette même
façon.
43. 40d/ Toutes
mes demandes et prière, de mettre les seaux avec les signatures absentes pour
500 euros, étaient inutiles. Pour 500 euros, l’Université de Trente n’a voulu
ni publier les numéros de mes examens sur les pages du supplément, ni mettre
les seaux UNIVERSITAS ATE, ni faire les signatures obligatoires sur mon diplôme
et sur mon nouveau supplément. En Suisse, j’ai manifesté le doublon sans seaux
du diplôme perdu et celui de mes examens sans numéros obligatoire. Je remercie
l’Ecole Pédagogique du Valais que non officiellement l’un de ses représentants
m’a rendu l’original du supplément de mes examens avec leurs numéros, avec
leurs seaux et avec leurs signatures qui manquaient dans mon nouveau doublon du
supplément en 2019. En outre, l’on n’a pas pu trouver l’original de mon diplôme
qui avait tous trois signatures et le seau UNIVERSITAS ATE. Si j’avais su
recevoir le doublon de mon master italien avec le seau mentionné et avec toutes
ses trois signatures, j’aurais demandé mon asile en Italie le 4 janvier
2020. Je prie la CNDA de confirmer les mutations illégales
du doublon de mon diplôme italien et de son nouveau supplément qui ne sont pas
valables sans seaux, sans signatures et sans numéros de me examens. Sans
ces mêmes trois aspects, mon MA de Trente perd sa validité en Russie et en
Israël. J’ai mon droit d’accepter ces mutations italiennes de
mon MA de Trente par leurs persécutions qui m’interdisent de trouver mon
travail par mon MA de Trente en dehors de l’Europe en Russie et en
Israël. Sans pression israélienne et américaine en Italie, ces
mêmes mutations étranges étaient impossibles et inutiles. Sans
copie confirmée par le notaire en 2004 pour ces mêmes mutations en Russie, l’on
pouvait me condamner dans la falsification de mon master soutenu par moi le 20
octobre 2004 à l’Université de Trente. L’Italie a annulé la validité de mon MA
de Trente par l’absence du seau UNIVERSITAS ATE, par l’absence de la signature
du Recteur et de celle du Président de la Faculté.
44. Le
nouveau contrat d’amitié entre Israël et l’Europe et mes détentions falsifiées en
Allemagne ont obligé l’Italie à me donner les doublons de mon master et de son
supplément sans seaux, sans signatures et sans numéros obligatoires de mes
examens.
45. 41/ De
cette même façon, je prie de constater que pour mes détentions falsifiées en Allemagne,
M. Frédéric de BUZON et M. Dominique BEYER ont perdu leurs places des
directeurs d’équipe en philosophie et en histoire à l’Université de Strasbourg
en 2010. De cette même, M. le décan du département en philosophie Pablo García
Castillo a été envoyé aux vacances sabbatique pendant l’année académique
2011-2012. Pour les intérêts à ma thèse, M. Cerilo Florez Miguel a été envoyé à la pension en 2011. Le
jeune professeur Ángel Poncelo González
ne travaille plus à l’Université de Salamanque pour son désir de suivre ma
cotutelle en espagnol et en italien. De cette même façon pour le désir de
suivre ma thèse à l’Université de Lausanne, M. le Professeur Christoph Erismann a été remplacé par Gian-Franco Soldati en 2015 pour suivre les étudiants de M. Erismann à Lausanne et partout en Suisse. En Autriche dans trois fois, le salaire de M.
Christophe Erismann a devenu plus bas à
l’Université de Vienne qu’à celle de Lausanne. Je priais la d’annuler la
décision de l’OPFRA qui ne reconnaît pas mes problèmes de santé que
j’aurais développés suite à la radioactivité de mon domicile à Perpignan en
2011. Je prie la CNDA de confirmer le fait que mes problèmes de
santé ont devenu peu substantiels seulement en 2015 et depuis 2015
jusqu’à nos jours ne se modifient pas comme ceux de Vladimir Ivanovitch Altoukhov qui
n’avait aucun tumeur à Strasbourg. Seulement sur la Place 3 ESPLANADE Edouard
LE ROY, M. V. Altoukhov a développé le
cancer de son estomac et nombreuses kystes ont apparu dans mon foie. A
Perpignan en 2011, l’on a enlevé trois kystes dans mes pieds. Ma kyste sur mon
œuf des testicules n’existait pas à Strasbourg en 2011 avant notre déménagement
à Perpignan. Regardez les pages 47-49. En 2020, M. Vladimir Altoukhov a peur de louer un seul appartement avec moi
que celui-ci ne soit pas radioactif comme au premier étage des Tour Barrandes sur la la Place 3 ESPLANADE
Edouard LE ROY.
46. J’espère
que M. V. Altoukhove puisse à vaincre sa
crainte et revienne à Perpignan. Seule sa peur a obligé M. Vladimir Ivanovitch Altoukhov de
ne pas me laisser son téléphone en dehors de la France, sa nouvelle adresse,
son nouveau skype et son e-mail. Je prie la
de me présenter l’asile politique que je ne répète pas le destin
horrible de M. Serguei Alexandrovitch Choumilov capitaine de l’énorme bateau russe qui n’a
pas reçu l’asile à Strasbourg en 2008.
Alexander Kiriyatskiy
Choumilov / Alexander Kiriyatskiy,
le poète
Aujourd'hui et en France, Galitch est la
bête,
Téléphone au cent quinze, l'on bat mes poètes.
Réfugié, par ton front, un drogué rompt l'assiette,
Mange comme ces français sans raison et sans tête
Ta Russie se rappelle dans mon cœur
Tienne ton sac sous ta main, ce destin nous rejette,
Dors sans pied! Réveilles-toi à six heures
Hors des fêtes!
Les bandits volent, nous mentent: ils cessent de sentir
Leur douleur pour quelle drogue! Car obtiennent le plaisir.
L'âme sauvage voudrait tuer l'autre forme pour rire,
Trouve la cause claire afin d'obliger à souffrir,
Un vieillard, requérant de l'asile
Au passé, celui-ci dirigeait son navire
Commercial, voyageait vers les îles
Pour dormir
Dans une salle avec ses animaux, dans les nuages,
Qui ne sont plus les hommes, car ils n'ont que leur rage,
Portent l'ère des souffrances dures à tous nos âges.
L'un de ses diables vifs te dévoile son visage.
Il menace notre vieux capitaine
À Strasbourg, l'Homme ne perd pas l'honneur et ses sages,
Où il ne s'abaisse pas jusqu'aux chiens,
En dommage.
Toute la nuit avec soi, les ivrognes parlent. Crient,
Et, parfois, ces stupides pissent dans leurs literies.
Au matin, l'on donne la nourriture, l'ordre rit.
À sept heures, l'homme quitte ce bâtiment triste, gris...
Le malade très âgé est à pieds
Tout le jour. Pour cette vie en Europe, c'est son prix.
Dans douze heures, il revient au foyer
De souris.
L'on dit qu'il n'est pas le réfugié. Ce statut
Conduit le capitaine aux drogués qui nous tuent.
Dont il prie l'aide trop tard, ce vieillard a perdu
Le printemps, car, il y a trente ans, il avait dû
Embarquer son bateau à New-York
Et l'asile politique pouvait être vendu.
À l'océan, il rattrape l'os de l'orque
Dépendu.
47. A) Je prie le Conseil d’Etat , Section Contentieux,1 Place du Palais-Royal – 75100 PARIS PR, l’Ambassade
de la Russie à Paris et la Cour du Droit de l’Homme de confirmer que
l’information des page 20-32 de ce même deuxième recours en France n’est pas l’ensemble de mes allégations a fait l’objet de déclarations imprécises
et confuses.
48. Je prie de confirmer que toute la
page 3 ne présente que les groupes des mots et des concepts sans rapport. Cette
même page du refus n’a livré aucun élément concret permettant d’en saisir
la tenir des concepts. La CNDA les a séparés, alors que les événements de
plusieurs pages ont été acceptés par votre lecture de mes dossiers sans mes
explications des rapports directs du teneur avec plusieurs événements de ma
vie. Vos avez remplacé leurs par nombreux concepts qui ne sont pas
particulièrement lié seulement sur vos trois pages. Leurs chaos détruit la
teneur des événements de mes derniers 22 ans. Leur dissimulation répète la tautologie médiévale que
comme le paysan du Moyen Âge je dois être attaché à la terre israélienne par
son esclave. Les 17 novembre et 10 décembre 2020 moi, M. Alexander Kiriyatskiy, j’ai envoyé mon recours à la CNDA avec ma
demande d’annuler la décision générale de l’Office française des réfugiés et
apatrides (OPFRA). En outre, votre ignorance de mes souffrances infinies a
rejeté ma
QUTRIÈME
demande d’asile. Depuis 2004
jusqu’à 2020 pendant 16 ans, la France a devenue le quatrième pays, où le
destin m’avait obligé à demander l’asile politique sans mon droit d’avoir mon
passeport israélien depuis 2011. Pour comprendre ma réalité, encore une fois
j’ai prié la CNDA de lire attentivement mon deuxième recours à la Cour
Nationale des Droits d’Asile.
49. En 2006, le Canada a rejeté ma première demande d’asile, car dans
tout le monde entier malgré n’importe quelle persécution les citoyens
américains, canadiens, européens et israéliens ne doivent pas recevoir
l’asile politique partout. Pour cette même réalité horrible et très
injuste, l’Université du Québec à Montréal m’a présenté son propre site
Internet https://kiriyatskiy.blogspot.com/p/villeveuve-et-vevey.html
pour toujours que là je publie tous les défauts des refus qui auront été liés
avec mes futurs demandes d’asile jusqu’à 2065. Pendant les siècles suivants,
les étudiants de cette même université étudieront les défauts des standards
doubles des évaluations de ma vie.
50. De nouveau, je vous prie de confirmer le fait que sur la page 2 dans
le deuxième paragraphe la CNDA humilie ma famille russe et confond ma propre
nationalité russe avec ma citoyenneté israélienne. Toujours, le pays de mon
origine était l’URSS et la Russie. Je suis né en Ouzbékistan. Mais ma famille
et ma nationalité n’avait jamais aucun rapport avec la nationalité ouzbèque comme les français, qui sont né en Algérie,
n’étaient jamais arabes. Seuls les fascistes de Waffen
SS affirmaient que les petits fils des juifs avaient leur nationalité
hébraïque ou israélienne. Seul mon grand-père par ma mère, Benjamin (Veniamïn) Khaèt avait sa propre
nationalité hébraïque ou israélienne. Pendant toute sa vie, il était l’homme du
monde depuis 1896 jusqu’à 1972. Seulement en 1972, seul mon grand père, le
compositeur Benjamin (Veniamïn) Khaèt
s’est converti au judaïsme, 3 ans avant son décès. Sa femme, ma grande
mère par ma mère Galina Yeremeyevna Tsvetkova était russe cent pour cent. Si celle-ci n’était
pas mariée à mon grand père, Galina Yeremeyevna Tsvetkova n’aurait aucun droit d’immigrer en Israël, car
elle n’était que la femme russe qui a devenu l’épouse du juif Benjamin Khaèt en 1924. Depuis 1905 jusqu’à 1924, la mère de ma mère
Galina Yeremeyevna Tsvetkova
n’avait aucun rapport avec la nationalité hébraïque ou israélienne dans toutes
les générations de ses ancêtres. De cette même façon, mon père Vadim Petrovitch Kiriyatskiy n’avait
aucune liaison avec la nationalité hébraïque ou israélienne. Il n’était
que le russe. Il n’était que l’époux de la fille du juif ou de celui israélien.
La tombe de ma mère se trouve dans le cimetière russe des chrétiens orthodoxes,
car seul son père avait la nationalité hébraïque. En Israël, le concept de
nationalité se détermine par votre mère. Israël n’était pas le pays d’origine
ni pour les grands parents de mon père, ni pour la mère de ma mère. Trois
quatrièmes parties de ma nationalité n’avaient aucun droit de recevoir la
citoyenneté d’Israël.
51. La CNDA affirme: M. Kiriyatskiy,
enregistré étant de nationalité (citoyenneté) israélienne et qui se
déclare de nationalité russe, né le 11 mai 1970, soutient qu’il craint d’être persécuté
ou risque d’être exposé à des atteintes graves, en cas de retour dans son
pays d’origine , …
»
52. J’ai dû obtenir son asile politique en France qui est le quatrième
pays de sa demande d’asile après le Canada, la Suisse et la Russie qui avaient
rejeté mes demandes bien plus tôt. La France affirme que le pays de mon origine
est Israël. Cette même affirmation de votre CNDA me rappelle les
déclarations des punisseurs fascistes allemands de 1933 à 1945. Ceux-ci
cherchaient les prêtres chrétiens qui avaient leurs grands parents juifs.
Malgré l’absence de circoncision des ces mêmes prêtres, les punisseurs
fascistes déclaraient que le pays d’origine des prêtres mentionnés est
Israël et tuaient ces mêmes prêtres aux camps de concentration, où
chaque petit fils d’un juif devait être tué pour le fait que une quatrième
partie de sa nationalité était israélienne ou juive comme dans mon destin.
53. Je vous prie de confirmer qu’il existe la grande ressemblance entre
la déclaration de la CNDA et celle des bourreaux d’Auschwitz, par les
autorités, en raison des propos antisémites qui lui ont été imputé, de sa
nationalité russe, de son profil artistique et de celui de son grand-père.
Pendant toute mon audience, je n’ai rien dit contre les juifs. Pour la popularisation
du profil artistique des juifs israéliens comme pour celle de mon grand-père
sans protection subsidiaire de la mafia reconnue, l’on condamne et
assassine tous en Israël. Si le grand-père par mon père était juif et mon
grand-père, le compositeur Benjamin Khaèt comme sa
femme Galina Tsvenkova était russe, Israël ne
m’aurait pas persécuté et en 2002 je n’aurais pas quitté son territoire et ma
mère Nina Veniaminovna Khaèt
aurait continué à vivre avec moi à Jérusalem.
54. Je prie de confirmer qu’il ne faut pas confondre deux concepts
différents, l’un de nationalité et l’autre de citoyenneté. Ma citoyenneté
israélienne présuppose le fait qu’en 1999 j’ai devenu le citoyen d’Israël. En
outre, ce dernier n’était jamais le pays de mon origine. Je suis né en URSS.
Malgré le fait que je suis né en Ouzbékistan, depuis le 11 mai 1970 jusqu’à ma
mort, ma nationalité sera russe toujours. Ma citoyenneté future n’aura aucun
rapport avec ma nationalité qui ne peut pas se modifier.
55. Le 15 février 2021, ma renonciation au bénéfice de l’aide
juridique a été lié avec le fait que mon avocat de cette même aide n’a pas
voulu lire mes dossier. Je crois que sans connaissance de mon histoire ce même
avocat n’avait aucun doit de suivre mon recours.
56. Sur 113 pages, mon recours https://refus-d-asile.blogspot.com/
a démontré le fait que la réponse de l’OPFRA n’avait aucun rapport ni avec le
téléchargement de mon discours avec le représentant de l’OPFRA, ni avec ma
réalité. Avec ce même deuxième recours, je vous envoie les copies de mon
premiers recours à la CNDA et mon deuxième recours en Suisse. La Suisse a
devenu le deuxième pays, où j’ai demandé l’asile le 4 janvier 2012. Par tous
les ordres français, si la France avait été le troisième ou le quatrième pays,
dans lequel pendant la quatrième fois certain requérant avait demandé son asile
et si celui-ci avait été rejeté dans trois pays antérieurs, la France n’aurait
jamais rejeté sa quatrième demande du statut de réfugié.
57. De cette même façon,
la CNDA n’a pas attiré l’attention sur les photos de l’appartement radioactif
et la description des événements sur les pages 46-51: Pendant mes études
à l’Ecole Doctorale à Strasbourg, je n’avais aucune source pour la vie (3 euros
de Caritas pendant un mois et rien plus). C’est la raison pour laquelle, le
réfugié russe M. Vladimir Altoukhov m’a présenté son hébergement gratuit (de 2007 à
2012). En outre, comme ces mêmes 6 professeurs mentionnés, au mois de janvier
2011 M. Vladimir ALTOUKHOV a laissé son appartement à Strasbourg, où l’état de
son corps était magnifique et n’avait aucune maladie. A Perpignan, nous avons
commencé à habiter dans l’appartement très mal, où au mois de novembre 2011 M.
Vladimir ALTOUKHOV végétarien, qui ne mangeait jamais de la viande, a eu le
cancer oncologique de son estomac. Ce dernier était enlevé dans l’hôpital à
Perpignan, où M. Vladimir Altoukhov a passé la chimiothérapie. Car j’avais habité dans ce
même appartement, j’ai reçu 4 boutons avec la tumeur. Les premiers 3 boutons
oncologiques sur mon pied gauche étaient enlevés à l’hôpital de Perpignan, car
ceux-ci présentaient le danger pour mon organisme. Le 4e bouton,
reçu par moi à Perpignan, se trouve sur mon œuf gauche. Ce dernier sent la
douleur parfois. Mais ce bouton ne présente pas le danger oncologique selon ses
derniers examens à l’hôpital de Lausanne…
58 Le 7 octobre 2020 et le 26 mai 2021
nombreuses fois, j’ai dis que, dans l’hôpital de Perpignan, le bureau d’accueil
avait pris mon passeport pour hospitaliser M. Vladimir Ivanovitch
Altoukhov afin d’enlever le cancer de son estomac. Ce
dernier n’existait pas dans son ventre au mois de mars 2011, alors que M.
Vladimir Altoukhov habitait sur la Route Schirmeck
241 à Strasbourg. J’ai déclaré le fait que l’on ne m’a pas rendu mon passeport
au bureau d’accueil mentionné au mois d’août 2011.
59. Quelqu’un avait volé mon
passeport. Depuis 2011 jusqu’à 2021, mon appartenance à la liste noire interdit
les Ambassades d’Israël en France et en Suisse de me présenter mon nouveau
passeport. La CNDA n’attire pas l’attention sur le fait que depuis 2006
jusqu’au 4 janvier 2012 j’ai fait tout possible pour ne pas demander l’asile.
60. La CNDA est d’’accord avec le fait
que l’ONU interdit de présenter l’asile aux citoyens d’Israël, de l’Amérique du
Nord et de l’Europe comme Jacques Millet (pp. 26-30 du recours à la CNDA)
malgré n’importe quelles persécutions et humiliations dans les pays de leurs
origines: Le 3 novembre 2017, M. Jacques
Millet, le poète francophone a fini son existence dans ce monde matériel à
travers le suicide en Suisse. Pendant les derniers 2 ans, il habitait dans la
chambre d’une femme. Pour ce logement, Jacques Millet travaillait gratuitement
dans le jardin du propriétaire. En outre, cette femme avait obligé Jacques à
quitter son logement sans cause. Sous la peur de décéder longtemps sous la
pluie dans la rue, Jacques s’est pendu comme le gibet sans dernier espoir à
l’âge de 60 ans. En France, son beau-père le tenait dans hôpital psychiatrique
depuis l’enfance de Jacques Millet malheureux. Sous la pression de son
beau-père puissant en France, l’ordre français a interdit Jacques Millet
d’étudier et de travailler officiellement. Alors que Jacques voulait contredire
à cette même décision des psychiatres, sans aucun droit de l’homme l’on fermait
ce poète dans les prisons des malades mentaux pendant toute la vie de Jacques
Millet. Chaque fois, il quittait ces hôpitaux en état de légume. En 2012, il
est venu en Suisse afin de demander le statut de réfugié comme moi.
61. Au canton Valais, j’ai obtenu le
droit de devenir le requérant d’asile et de recevoir 480 francs pendant chaque
mois depuis le 4 janvier 2012 jusqu’au 21 décembre 2019, car j’ai le passeport
israélien et Israël n’entre pas dans la Communauté Européenne. Au contraire, M.
Jacques Millet n’avait que le passeport français et sa patrie était considérée
comme le pays “démocratique”. Seuls les pays “totalitaires” ne doivent pas
persécuter leurs citoyens sans motivation. Au contraire, tous les pays
“démocratiques” peuvent faire n’import quoi avec leurs hommes qui n’ont aucun
droit sur la défense politique en Europe et en Amérique. Par la soutenance du
gouvernement du monde, les pays “démocratiques” peuvent transformer, en enfer,
les vies de leurs citoyens comme Jacques Millet. Seulement pour le fait que mon
passeport n’est ni européen, ni canadien, ni américain, le bureau des
requérants d’asile m’a présenté assistance sociale et le logement en Suisse, où
j’ai habité pendant 8 ans sans deux semaines depuis le 4 janvier 2012 jusqu’au
19 décembre. Au contraire, Jacques Millet n’a rien obtenu en Suisse, car il
avait passé toutes ses souffrances horribles depuis 1967 en France, sur le
territoire de la zone «démocratique». Jacques Millet appartenait à la
nationalité française. Il n’était ni musulman, ni réfugié. Pour cette même
raison, la France ne lui a présenté aucun logement sans son ami garant qui
travaillait stablement. De 2012 à 2014 au canton Vaud de la Suisse, l’Armée de
Salut lui a donné une petite chambre pour notre poète misère. Jacques Millet
avait le passeport du pays “démocratique”. C’est la raison pour laquelle à
Vevey, l’Armée de Salut avait tous les droits d’obliger Jacques Millet à
quitter sa résidence en 2014. Si Jacques Millet n’avait pas voulu distribuer
gratuitement la nourriture pour les hommes pauvres (qui, comme moi, étaient
bien plus riches que Jacques). Si M. Millet n’avait pas commencé à travailler
dans son rôle du jardinier gratuit, il aurait dû finir de vivre par ce même
suicide ou de l'autre façon en 2015. Au mois de novembre 2017 sans
avertissement, les pires ennemis de la nationalité française ont obligé Jacques
Millet à abandonner le jardin, où il avait été d’accord de travailler toujours
gratuitement par l’esclave afin de ne pas mourir lentement sous les averses
dans les rues de Vevey en Suisse. En 2013, j’ai téléchargé 5 poèmes de Jacques
Millet et l’histoire de sa vie. Sur YouTube, M.
Jacques Millet a décrit son destin misère en France. En Internet il y 7 ans,
Jacques avait raconté de quelle façon la France a moqué de son âme et l’Europe
“démocratique” n’a pas vu les larmes de Joseph Brotsky en
France, car ce même poète Jacques Millet n’était pas notre stupide soviétique
Brodsky avec 7 années de l’école secondaire à cause de sa propre maladie
mentale par la nature. Si, comme le stupide Joseph Brodsky https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Brodsky ,
Jacques Millet avait été le requérant d’asile de l’URSS en 1973, il aurait
devenu le professeur post. doctorant à 6
meilleures universités anglophones et aurait reçu le prix Nobel pour sa propre
poésie. En dehors de la politique, les poèmes de Brodsky étaient formulés sur
la base de ses 7 classes de l’école secondaire et sur le fond de sa maladie
mentale qui était bien pire que celle du poète Jacques Millet qui m’a rappelé
beaucoup Joseph Brodsky réel avant 1973 en URSS.
Lésbió primúm // moduláte cívi
quí feróx belló, // tamen ínter árma
síve jáctatám // religárat údo
lítore návim,
(À Lesbos, premier // citoyen, respecte
notre guerre pour l’île. // Entre beaucoup d’armes,
ce bateau nageait // dans le port étrange,
plage sous l’averse.1),
(Quinte Horace Flacce)
Strophe d’Alexander Kiriyatskiy
Consécration de Joseph Brodsky
Un homme russe
obtient // sa reconnaissance!
L’on tue chaque talent,
// garde son absence…
Tombe ma Russie.
// Pour l’intelligence,
Donne plusieurs chances
À ses favorites
// que puissent apparaître
Nos personnes fameuses
// des médiocres Lettres,
Car votre Pouvoir
// ouvre sa fenêtre
Pour seuls Ses maîtres.
Sans sa Protection,
// tout est impossible,
Leur médiocrité //
deviendra horrible.
C’est son Diable qui // interprète
la Bible
Aux murs sensibles.
L’on ne t’oblige pas
// à caver nos plantes
Ou couper
chaque pierre // qui est éprouvante.
Sans aucun diplôme,
// ta carrière brillante
Mort exigeante.
Ton école secondaire
// est plus importante
Que mon master deux,
// «astre» enseignante!
À tes étudiants,
// Amérique Méchante,
Que l’être mente.
Qui n’avait nul voix,
// de ta scène te chante,
Que, vieux écolier
// «professeur», tu tentes
D’ignorer l’idée,
// tes paroles prudentes
Sont différentes
Dans ta poésie //
qui formule leurs ordres
De ton prix Nobel.
// Mélodie de cordes,
À Venise
décède, // hirondelle plus forte,
Tu dois te tordre.
Tes persécutions
// soviétiques s’estompent
Sous mes vingt un ans
// en Europe qui trompe,
Où je suis
sans droit. // Excellence, rompe
L’hiver des ombres!
____________
1 - c'est la traduction poétique
d'Horace en français d'Alexander Kiriyatskiy
62. Sans protection et sans
consécration des dieux du gouvernement du monde, la plupart des poètes aura le
destin de Jacques Millet sans futur. Je prie la CNDA que tous les français,
comme le poète décédé Jacques Millet, et les requérants d’asile des pays
«démocratiques» en France, que nous ayons tous les droits de l’homme comme les
ont seuls les représentants des pays «totalitaires» en Europe. Toujours, alors
que les réfugié admis, parmi les terroristes, la bureaucratie essaie de piquer
les droits des hommes malheureux comme Jacques Millet parmi les européens et
comme moi parmi les russes. Nous ne sommes pas terroristes ni comme Piotr Pavlenski, ni le tchétchène qui a coupé la tête de
l’enseignant. A Moscou de la manière islamique, Pavlenski voulait
couper son prépuce comme il a coupé un morceau de son oreille. Peut-être, ce
même désir a popularisé son satanisme. Je prie une centième partie de
l’admission de ce même pornographe que je puisse à obtenir mon droit sur
l’asile en France. Je ne peux pas croire que ma mort et celle-ci de Jacques
Millet conduisent les pays «démocratiques» vers leur bonheur.
Jacques Millet, le poète: Armée
du Salut
Alliée des gens dans la souffrance,
Recours que les gens pauvre lancent,
Méritant le Christ et son amour immense,
Espoir de ceux vivant plus que l'offense
Elèvent par le Christ et leur besoin d'amour
Dans différents lieux mais pour le bien toujours
Unis dans le Christ et son désir d'amour:
Secourir le pauvre avec ou sans détour,
Aiment Dieu, son fils, sa royauté
Unis à Dieu sous son autorité,
Travaille cette Armée pour notre Salut.
Jacques Millet, le poète:
Le
Noël du Poste
Lieu qui fait honneur
En Christ, Notre Seigneur,
Noël, vent vainqueur,
Croyez avec Cœur,
Ecoute, dans la bonne humeur,
L es gens qui font honneur.
Dans ce lieu porteur,
Unissent de bonheur.
Par ceux, écoutant le Seigneur,
Glissant en acteurs
Secourir sans peur
Toutes personnes dans le malheur,
Espérant en un Dieu Vainqueur.
(Jacques Millet 1957
– 2017)
63. Toujours, tous mes recours
canadiens, suisses, russes et français avec les réponses à ceux sont dévoilés
sur les pages de mon site internet à l’Université du Québec à Montréal https://www.m310014.uqam.ca/ . L’on peut trouver ceux sous la
deuxième ligne de mes vidéos après le mot «causes» de la couleur verte que les
étudiants québécois analysent la réalité horrible des pays démocratiques au XXI
siècle. Je ne perds pas mon espoir sur ma légalisation en France pendant la
quinzième année de mon logement là depuis 2006 et pendant mon onzième année de
ma vie illégale en France et en Suisse francophone sans mon renvoi de l’Europe
depuis le 5 septembre 2010. Cordialement, Alexander Kiriyatskiy.
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